Salut mes amis,
Et oui, vous allez penser que j'abuse,
mais je ferme à nouveau la boutique pour 15 jours.
Je vais encore prendre du retard...
A bientôt et portez vous bien !
MaN
mercredi 12 octobre 2011
dimanche 9 octobre 2011
Yello - "Solid Pleasure" (1980) 2005 Remastered Edition
Je sais bien que pour certaines, lorsque leur prince charmant les enserre,
c’est la couleur rose qui prédomine.
Et bien moi, parfois, je vois la vie en jaune.
A chacun son truc.
Etrange mais agréable perception de la vie,
qui m’apparue pour la première fois en 1980 en prenant un peu de "Solid Pleasure",
je le confesse.
Mais c’est la faute à Dieter Meier, Carlos Perón et Boris Blank,
trois dealers suisses de jaune.
Yello, comme nom de code, c‘est pas bête pour fourguer du jaune.
Carlos Perón quitte le trio en 1983,
et puis c’est l’engrenage, la course folle...
Badaboum !
Une quinzaine d’album, des tonnes de single,
sans compter les éditions remasterisées et compilations diverses.
Et encore aujourd'hui, on trouve du jaune partout.
Dans des films, des pubs, des jeux vidéo et même dans les Simpsons.
Si, si.
Et bien, malgré ce trop plein, j’en veux encore et encore.
Je vais être sympa, je vous propose un "Solid Pleasure", là, maintenant.
Mais bon, discret, je compte sur vous !
Vous verrez, le jaune, c'est... c'est...
Vous verrez.
Bon, quitte à être généreux… la version remasterisée de 2005,
proposée avec 5 morceaux supplémentaires,
dont "I.T. Splash" leur premier succès de 1979,
vous préférez ? Oui ? Non ?
Allez, vendu.
c’est la couleur rose qui prédomine.
Et bien moi, parfois, je vois la vie en jaune.
A chacun son truc.
Etrange mais agréable perception de la vie,
qui m’apparue pour la première fois en 1980 en prenant un peu de "Solid Pleasure",
je le confesse.
Mais c’est la faute à Dieter Meier, Carlos Perón et Boris Blank,
trois dealers suisses de jaune.
Yello, comme nom de code, c‘est pas bête pour fourguer du jaune.
Carlos Perón quitte le trio en 1983,
et puis c’est l’engrenage, la course folle...
Badaboum !
Une quinzaine d’album, des tonnes de single,
sans compter les éditions remasterisées et compilations diverses.
Et encore aujourd'hui, on trouve du jaune partout.
Dans des films, des pubs, des jeux vidéo et même dans les Simpsons.
Si, si.
Et bien, malgré ce trop plein, j’en veux encore et encore.
Je vais être sympa, je vous propose un "Solid Pleasure", là, maintenant.
Mais bon, discret, je compte sur vous !
Vous verrez, le jaune, c'est... c'est...
Vous verrez.
Bon, quitte à être généreux… la version remasterisée de 2005,
proposée avec 5 morceaux supplémentaires,
dont "I.T. Splash" leur premier succès de 1979,
vous préférez ? Oui ? Non ?
Allez, vendu.
vendredi 7 octobre 2011
Bwana Zoulou Gang - Bwana Zoulou Gang (1987)
Quand des musiciens africains rencontre des musiciens français, en 1987,
ça donne le «Bwana Zoulou Gang».
Un gang de 15 tueurs,
sauf que pour cette petite affaire, leurs armes sont leur(s) talent(s).
Commençons par l’Afrique.
Ray Lema : production, réalisation,
musiques, chant, clavier et percussions…
oui, il est un peu multitâche le bonhomme.
D’autant qu’il joue également de la guitare mais,
pour le coup, a laissé quelques miettes aux autres participants.
Manu Dibango, moins multitâche,
mais avec tout autant de talent, au saxo et aux chants.
Willy N’For, bassiste de son état,
mais qui a préféré pousser la chansonnette sur «Isle Of Rise».
Willy N’For est décédé en 1998.
Pour la France, Jacques Higelin, Alain Bashung,
CharlElie Couture et son frérot Tom Novembre
et Anne Papiri pour les parties chants ainsi que 7 musiciens.
Pas mal, non ?
Cet album, c’est de très belles compositions,
extrêmement bien interprétées et magnifiquement bien réalisées.
Puis-je ajouter du texte à mon texte après avoir écris ça ?
Non,
mais je peux fortement vous conseiller cette galette.
ça donne le «Bwana Zoulou Gang».
Un gang de 15 tueurs,
sauf que pour cette petite affaire, leurs armes sont leur(s) talent(s).
Commençons par l’Afrique.
Ray Lema : production, réalisation,
musiques, chant, clavier et percussions…
oui, il est un peu multitâche le bonhomme.
D’autant qu’il joue également de la guitare mais,
pour le coup, a laissé quelques miettes aux autres participants.
Manu Dibango, moins multitâche,
mais avec tout autant de talent, au saxo et aux chants.
Willy N’For, bassiste de son état,
mais qui a préféré pousser la chansonnette sur «Isle Of Rise».
Willy N’For est décédé en 1998.
Pour la France, Jacques Higelin, Alain Bashung,
CharlElie Couture et son frérot Tom Novembre
et Anne Papiri pour les parties chants ainsi que 7 musiciens.
Pas mal, non ?
Cet album, c’est de très belles compositions,
extrêmement bien interprétées et magnifiquement bien réalisées.
Puis-je ajouter du texte à mon texte après avoir écris ça ?
Non,
mais je peux fortement vous conseiller cette galette.
mercredi 5 octobre 2011
The Link Quartet - 4 (2011)
Salut les amis !
C’est que vous commenciez sérieusement à me manquer !
Oui, je sais, j’ai un sacré retard à combler.
C’est pour ça que je ne m’arrêterai pas plus sur l’introduction explicative du pourquoi, comment, où, quand et qui.
Quel été de merde. Le temps, oui, oui…Mais, pas que…
Vous, je ne sais pas, perso, j‘ai perdu une Amy.
Cette fois, pas de back to black.
Mais, là aussi, je ne m‘étendrai pas plus sur ce sujet :
tout à été dit dans la presse.
Tout.
Après avoir démonté brique après brique Mademoiselle Winehouse,
tous l’ont encensée.
Tous.
Le poids des mots, le choc des photos.
Mais quand le mal est fait…
Démonstration par un commentaire.
Un commentaire laissé par un internaute sur un site de presse:
«…il faut dire aussi qu’elle revendiquait son alcoolisme, vu le surnom, Winehouse,
qu’elle s’était donnée…»
Quand le mal est fait…
Un dernier mot au sujet de la grande petite dame :
à ceux qui douteraient encore de son talent,
écoutez son premier album, «Frank».
Vous l’avez sans doute compris, ce n’est pas d’un album de la Miss dont je vais vous parler.
Non, je vais profiter de cet été indien si agréable
pour vous proposer un groupe que j’écoute en boucle en ce moment,
que Mr Jimmy m’a fait découvrir dans une compilation magistrale,
«Let’s Boogaloo!».
Mais si, Jimmy !
«Le Club Des Mangeurs De Disques»,
là, à droite de l’écran, rubrique : «ceux que j’aime».
Bref, je vais vous causer de «The Link Quartet», l’album «4».
Fan inconditionnel de l’orgue Hammond, je peux vous dire que je suis servi.
Faut dire que nous trouvons au sein de ce groupe de sacrés pointures.
Et surtout, Mr Paolo «Apollo» Negri, sans doute le maitre du genre.
Et oui, un italien !, car ils sont italiens les «Link Quartet» !
4, comme leur nom nous le précise :
En plus de «Apollo» à l‘orgue, on trouve Renzo Bassi à la basse,
Marco «Mayo» Murtas à la guitare et Alberto «Pato» Maffi à la batterie.
Le tout additionné d’excellents musiciens
venus prêter main forte sur certains morceaux.
Bref, il y avait fort longtemps qu’un groupe ne m’avait pas
donné envie de bouger à ce point.
Ca brasse grave, comme dirait l’autre.
Bien, et maintenant, à vous de jouer !
C’est que vous commenciez sérieusement à me manquer !
Oui, je sais, j’ai un sacré retard à combler.
C’est pour ça que je ne m’arrêterai pas plus sur l’introduction explicative du pourquoi, comment, où, quand et qui.
Quel été de merde. Le temps, oui, oui…Mais, pas que…
Vous, je ne sais pas, perso, j‘ai perdu une Amy.
Cette fois, pas de back to black.
Mais, là aussi, je ne m‘étendrai pas plus sur ce sujet :
tout à été dit dans la presse.
Tout.
Après avoir démonté brique après brique Mademoiselle Winehouse,
tous l’ont encensée.
Tous.
Le poids des mots, le choc des photos.
Mais quand le mal est fait…
Démonstration par un commentaire.
Un commentaire laissé par un internaute sur un site de presse:
«…il faut dire aussi qu’elle revendiquait son alcoolisme, vu le surnom, Winehouse,
qu’elle s’était donnée…»
Quand le mal est fait…
Un dernier mot au sujet de la grande petite dame :
à ceux qui douteraient encore de son talent,
écoutez son premier album, «Frank».
Vous l’avez sans doute compris, ce n’est pas d’un album de la Miss dont je vais vous parler.
Non, je vais profiter de cet été indien si agréable
pour vous proposer un groupe que j’écoute en boucle en ce moment,
que Mr Jimmy m’a fait découvrir dans une compilation magistrale,
«Let’s Boogaloo!».
Mais si, Jimmy !
«Le Club Des Mangeurs De Disques»,
là, à droite de l’écran, rubrique : «ceux que j’aime».
Bref, je vais vous causer de «The Link Quartet», l’album «4».
Fan inconditionnel de l’orgue Hammond, je peux vous dire que je suis servi.
Faut dire que nous trouvons au sein de ce groupe de sacrés pointures.
Et surtout, Mr Paolo «Apollo» Negri, sans doute le maitre du genre.
Et oui, un italien !, car ils sont italiens les «Link Quartet» !
4, comme leur nom nous le précise :
En plus de «Apollo» à l‘orgue, on trouve Renzo Bassi à la basse,
Marco «Mayo» Murtas à la guitare et Alberto «Pato» Maffi à la batterie.
Le tout additionné d’excellents musiciens
venus prêter main forte sur certains morceaux.
Bref, il y avait fort longtemps qu’un groupe ne m’avait pas
donné envie de bouger à ce point.
Ca brasse grave, comme dirait l’autre.
Bien, et maintenant, à vous de jouer !
Inscription à :
Articles (Atom)